Jonathan Gradit - « Enchaîner les saisons pleines donne confiance »
Depuis son arrivée à Tours en 2013 après être passé
par Bayonne suite à son départ de Bordeaux en 2012, Jonathan Gradit (23
ans) est devenu un pilier de la défense tourangelle. Le latéral droit
formé aux Girondins a même hérité du brassard de capitaine après la
sortie de son coéquipier Bryan Bergougnoux en Coupe de la Ligue, mardi.
Pour La Nouvelle République, il revient sur son statut au sein du Tours FC : « J'ai bénéficié d'une blessure et je ne suis jamais sorti de l'équipe depuis. Je touche du bois pour le moment mais que je sois titulaire ou remplaçant, il faut être tout le temps à fond, car le travail paye. Enchaîner les saisons pleines donne confiance et j'ai été peu blessé. A moi continuer à me remettre en question chaque jour. C'est important. (...) Je n'ai pas le tempérament nécessaire pour parler dans le vestiaire. Ce n'est pas ma nature, mais je suis dans la génération entre deux. C'est-à-dire que je suis écouté par les jeunes et les anciens me parlent et m'écoutent. Mais pour moi, ça ne change rien, je reste le même ».
S'il estime avoir « encore beaucoup de choses à changer, que ce soit au niveau de la technique et de la tactique », son entraîneur, Fabien Mercadal, « apprécie l'homme et le joueur. Il peut faire une belle carrière sur la durée. Sa plus grande qualité est qu'il met le collectif au-dessus de tout. Maintenant, il faut qu'il arrive à prendre confiance en lui et qu'il partage cela ».
Pour La Nouvelle République, il revient sur son statut au sein du Tours FC : « J'ai bénéficié d'une blessure et je ne suis jamais sorti de l'équipe depuis. Je touche du bois pour le moment mais que je sois titulaire ou remplaçant, il faut être tout le temps à fond, car le travail paye. Enchaîner les saisons pleines donne confiance et j'ai été peu blessé. A moi continuer à me remettre en question chaque jour. C'est important. (...) Je n'ai pas le tempérament nécessaire pour parler dans le vestiaire. Ce n'est pas ma nature, mais je suis dans la génération entre deux. C'est-à-dire que je suis écouté par les jeunes et les anciens me parlent et m'écoutent. Mais pour moi, ça ne change rien, je reste le même ».
S'il estime avoir « encore beaucoup de choses à changer, que ce soit au niveau de la technique et de la tactique », son entraîneur, Fabien Mercadal, « apprécie l'homme et le joueur. Il peut faire une belle carrière sur la durée. Sa plus grande qualité est qu'il met le collectif au-dessus de tout. Maintenant, il faut qu'il arrive à prendre confiance en lui et qu'il partage cela ».
Photo : NR
