Retour sur les quarts de finale avec Yohann Campanini
Jusqu'à samedi, jour de la finale de la coupe de la région Aquitaine
(contre Lège Cap-Ferret), nous vous proposerons tous les jours une
rétrospective du parcours de la réserve des Girondins de Bordeaux dans
cette compétition. Des 16èmes de finale, jusqu'à la demi-finale, chaque
jour, un joueur reviendra sur chaque tour de cette coupe.
Après Sofian Valla pour les 16èmes de finale à Caudéran et Alexandre Brucato pour les 8èmes de finale à Villenave, c'est au tour de Yohann Campanini de parler de la coupe. Le latéral droit revient sur les quarts de finale face à Mérignac Arlac, le 2 avril dernier. Bordeaux s'était imposé 2-1 (Romil et Zinga). Titulaire ce jour-là, Campanini revient sur cette rencontre et aborde la finale de demain :
« Un match, sur le papier, où tout nous était favorable, mais on sait qu'un match de coupe reste un match de coupe et que tout le monde peut battre tout le monde. On a bien débuté le match, on a essayé d'imposer notre football, on a ouvert le score, puis on s'est fait rejoindre sur une erreur individuelle. La suite n'était pas évidente, avec de l'impact dans les duels, mais le plus important reste d'avoir gagné et d'avoir pu continuer notre parcours en coupe, qui nous emmène en finale. Une finale, ça donne toujours envie de la jouer, on est déterminés à la gagner et on va faire ce qu'il faut pour finir la saison sur une note positive. »
Après Sofian Valla pour les 16èmes de finale à Caudéran et Alexandre Brucato pour les 8èmes de finale à Villenave, c'est au tour de Yohann Campanini de parler de la coupe. Le latéral droit revient sur les quarts de finale face à Mérignac Arlac, le 2 avril dernier. Bordeaux s'était imposé 2-1 (Romil et Zinga). Titulaire ce jour-là, Campanini revient sur cette rencontre et aborde la finale de demain :
« Un match, sur le papier, où tout nous était favorable, mais on sait qu'un match de coupe reste un match de coupe et que tout le monde peut battre tout le monde. On a bien débuté le match, on a essayé d'imposer notre football, on a ouvert le score, puis on s'est fait rejoindre sur une erreur individuelle. La suite n'était pas évidente, avec de l'impact dans les duels, mais le plus important reste d'avoir gagné et d'avoir pu continuer notre parcours en coupe, qui nous emmène en finale. Une finale, ça donne toujours envie de la jouer, on est déterminés à la gagner et on va faire ce qu'il faut pour finir la saison sur une note positive. »
A demain pour le dernier numéro de cette rétrospective : la demi-finale à Bergerac, avec Ilan Kebbal !