Philippe Lucas - « Bosser avec un adjoint avec qui j’avais envie de bosser »
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Philippe Lucas a évoqué sa nomination à la tête de la réserve des Girondins de Bordeaux, avec pour adjoint Matthieu Chalmé :
« Ce n'est pas être demandeur de quelque chose, mais je pars toujours du principe que si un jour les choses changent, effectivement je serais attentif à ce qu’il se passera, sans attendre ni demander forcément quelque chose. On m’avait donné comme mission pendant deux ans de m'occuper de cette catégorie, qui est la première année en centre de formation, donc il y a eu des raisons à ça. J’ai rempli ma mission avec la même envie, même détermination, même motivation et même sérieux que lorsque je m’occupais des moins de 19 ans, c’était une autre mission. Aujourd’hui, on m’en propose une autre. C’est pour moi je pense la période, parce qu'il y a beaucoup de choses qui sont réunies. Et la première, pour moi la plus importante, c’est la relation qui est possible, avec notamment le staff professionnel. Les conditions aussi étaient de bosser avec un adjoint avec qui j’avais envie de bosser, donc Matthieu Chalmé, qui a été avec moi pendant un an en formation et qui est un ancien professionnel reconnu. Ensuite, il y a un groupe de qualité. Pendant un an, on va un petit peu galérer au niveau des travaux, mais je sais que dans deux ans tout ça sera réglé, dans de meilleures conditions. Donc je crois que c’était le moment pour accepter, mais ce n’était pas une obligation que j’accepte, ce n’était pas quelque chose que j’attendais comme le Graal. Je ne suis pas dans cette philosophie de se dire que je suis le meilleur parce que j’entraîne la CFA. Ce n’est pas ça, je n’étais pas là pour marcher sur les autres pour en arriver là. Si ça n’avait jamais dû se faire, cela ne se serait jamais fait. Peut-être que ça aurait été un regret, parce que je pense que c’est bien de toucher à tout. Mais c’est arrivé, même si on n’a pas encore signé nos contrats. D'abord c’est un plaisir qu’on ait pensé à moi. Comme je le disais, si quelque chose devait changer, je ne me serais pas positionné forcément. Je crois que ça vient d'abord du club, le club a eu cette volonté et c’est très bien comme ça. »
« Ce n'est pas être demandeur de quelque chose, mais je pars toujours du principe que si un jour les choses changent, effectivement je serais attentif à ce qu’il se passera, sans attendre ni demander forcément quelque chose. On m’avait donné comme mission pendant deux ans de m'occuper de cette catégorie, qui est la première année en centre de formation, donc il y a eu des raisons à ça. J’ai rempli ma mission avec la même envie, même détermination, même motivation et même sérieux que lorsque je m’occupais des moins de 19 ans, c’était une autre mission. Aujourd’hui, on m’en propose une autre. C’est pour moi je pense la période, parce qu'il y a beaucoup de choses qui sont réunies. Et la première, pour moi la plus importante, c’est la relation qui est possible, avec notamment le staff professionnel. Les conditions aussi étaient de bosser avec un adjoint avec qui j’avais envie de bosser, donc Matthieu Chalmé, qui a été avec moi pendant un an en formation et qui est un ancien professionnel reconnu. Ensuite, il y a un groupe de qualité. Pendant un an, on va un petit peu galérer au niveau des travaux, mais je sais que dans deux ans tout ça sera réglé, dans de meilleures conditions. Donc je crois que c’était le moment pour accepter, mais ce n’était pas une obligation que j’accepte, ce n’était pas quelque chose que j’attendais comme le Graal. Je ne suis pas dans cette philosophie de se dire que je suis le meilleur parce que j’entraîne la CFA. Ce n’est pas ça, je n’étais pas là pour marcher sur les autres pour en arriver là. Si ça n’avait jamais dû se faire, cela ne se serait jamais fait. Peut-être que ça aurait été un regret, parce que je pense que c’est bien de toucher à tout. Mais c’est arrivé, même si on n’a pas encore signé nos contrats. D'abord c’est un plaisir qu’on ait pensé à moi. Comme je le disais, si quelque chose devait changer, je ne me serais pas positionné forcément. Je crois que ça vient d'abord du club, le club a eu cette volonté et c’est très bien comme ça. »
