Le 18/02/2016 à 15h00 - Interview - Par Alexandre Poirier

Sébastien Bannier -\"On ne dit pas beaucoup ce qu'on fait mais on fait beaucoup"

Actualités : Sébastien Bannier -\"On ne dit pas beaucoup ce qu'on fait mais on fait beaucoup" - Formation Girondins
Dans le quotidien Sud Ouest du jour, Sébastien Bannier est revenu, avec son œ“il extérieur, sur l'équipe B du FCGB :

"Il y a ici une équipe technique très compétente. Il y a eu une reformulation cet été et dans ce cadre, Ulrich et Patrick ont souhaité avoir une personne avec de l'expérience, extérieure à Bordeaux. L'idée était d'avoir un autre regard sur les joueurs, d'apporter de la fraîcheur tout en pouvant dire les choses en toute humilité. Parfois, quand ça vient de l'extérieur, on entend mieux, même si ça reste tout à fait complémentaire de ce qui se faisait avant. J'ai toujours aimé ce travail autour de l'équipe CFA. A Bordeaux, il y a un vrai staff technique, les rôles sont définis, il y a de la compétence, de la stabilité, des grosses carrières. L'approche pédagogique au niveau de l'accompagnement des jeunes est très réfléchie. Cela existe dans peu de clubs. Il faut le savoir. Bordeaux, c'est une dimension supérieure, avec des moyens supérieurs et aussi des objectifs supérieurs."

L'entraîneur adjoint de la réserve évoque aussi la formation aux Girondins de Bordeaux : "Tout le monde travaille ensemble dans l'intérêt du joueur. Le projet est défini même s'il n'y a pas de vérité avec de jeunes joueurs, l'erreur faisant partie de la formation. Ici, on ne dit pas beaucoup ce qu'on fait mais on fait beaucoup. Bordeaux a eu une très belle réputation, le travail est efficace. D'autres clubs utilisent plus l'image de la formation. Je trouve qu'on ne défend pas assez l'excellent travail effectué. Moi, je peux dire les choses. Quand on voit le nombre de joueurs sortis d'ici et qui jouent dans les cinq plus grands championnats… Les Girondins sont cinquièmes sur le plan européen, deuxièmes en France derrière Lyon. Bordeaux peut devenir encore plus une référence."

L'entretien intégral est à retrouver dans l'édition papier du Sud Ouest du jour !

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